Pour Cyceron, "les positions sociales, économiques, européennes (...) de Ségolène et DSK sont étonnements proches de celles de l'UDF". Alors rapprochement ou bien ? Cyceron tente dans sa chronique de franchir le pas. Mais que c'est dur ! Dur comme le noyau de militants PS englués dans le passé.
Ecoutez la chronique de Cycéron.
tu ne réponds jamais....mais je voulais juste te dire...que je passe toujours un bon moment quand je fais un tour par chez toi...écriture vive, rythmée....c'est très agréable....en plus je crois que j'adore ton addiction aux politiciens...t'as vu les politiciens pourris huchon (ou juppé ou drut) ? amicalement
Hugues, tu sens des pieds...
excuse-moi, entre copines, au moins je te devais çà
Rédigé par : Ton petit Colibri | 08 septembre 2006 à 00:34
Monsieur le colibri,
à qui vous adressez-vous ?
Hugues ? Cycéron ? Benito ?
Rédigé par : benito | 08 septembre 2006 à 09:16
Pas à moi en tout cas. Ce colibri a tout l'air d'être un olibrius.
Rédigé par : Hugues | 08 septembre 2006 à 16:56
je ne sais pas si les socialistes de gauche sont réellement "marxistes" (comme le fantasment encore apparemment la droite) mais en tout cas, ce qui est certain, c'est qu'ils sont socialistes ! Je pense donc que, de toute façon, ce sont les encartés socialistes de sensibilité droite libérale qui devraient quitter le parti et non le parti qui devrait devenir une composante de l'UDF !
Mais ceci dit, il est incontestable qu'un tel jeu de chaises musicales serait on ne peut plus SAIN pour la gauche française en générale et pour le parti socialiste en particulier
Rédigé par : sépakaré | 10 septembre 2006 à 21:57
Sépakaré,
Les socialistes "de gauche" selon moi refusent d'accepter la réalité : la mondialisation de fait des économies internationales. C'est moche, on peut pleurer, crier et se tirer les cheveux, on n'y changera rien.
Emmanuelli, et ses amis de Nouveau monde, de même que les altermondialistes, se trompent de combat. Je leur reproche de s'accrocher à une vision purement nationale, de croire qu'il suffit aujourd'hui de nationaliser toutes les entreprises liées à un service public pour que les citoyens soient heureux et épanouis.
Je condamne leur façon de dénoncer les riches, de proposer une taxation maximale du capital et de la bourse, pour redistribuer aux plus démunis. Cette vision simpliste du "Robin des Bois moderne" ne tient pas la route. Michel Rocard qu'on ne peut taxer d'être de droite, est le premier à blâmer ces raccourcis faciles. Et j'adhère à son constat : on ne résoudra pas les problèmes sociaux avec de tels raisonnements économiquement ineptes. Que croyez-vous que feront les méchants capitalistes si on les taxe trop ? Ils iront échanger ailleurs et notre économie en souffrira, nous aurons un PIB plus faible,et moins de revenus pour l'Etat.
Emmanuelli et ses petits amis sont englués dans une vision marxiste. Ils continuent de mépriser le système capitaliste. Alors certes, il sont bien obligés de composer avec lui puisqu'il n'y a aujourd'hui aucune alternative crédible, mais ils le font comme beaucoup de socialistes rattrapés par la réalité : avec une pince à linge sur le nez, de mauvaise grâce.
Je pense qu'ils feraient mieux de se concentrer sur le problème principal : l'union politique et fiscale de l'Europe qui seules nous donneront les moyens d'imposer nos normes sociales. Rien ne peut se faire à la seule échelle française et tout le reste est soit de l'utopie soit de la démagogie.
Le capitalisme, la bourse ne sont pas des gros mots. Ils permettent aussi à des gens modestes de s'élever socialement, ils permettent de financer des projets des entreprises etc. Certes, il y a des dérives, des excès qu'il convient de réguler au mieux par des réglementations adaptées et on y arrivera d'autant mieux qu'on sera soudés à l'échelle de l'Union.
Le rejet de la constitution et la position noniste des gens de gauche nous ont fait perdre de précieuses années en ce sens. Et pendant ce temps, nous subissons l'hégémonie financière américaine et maintenant asiatique.
Il est temps que la gauche de gauche ouvre les yeux : la meilleure façon de lutter contre les inégalités, de résoudre les problèmes du chômage et d'opérer une meilleure répartition des richesses, ce n'est pas de nir le capitalisme qui a ses vertus. C'est de l'encadrer, de le compenser, d'atténuer tous ses travers.
Ce n'est pas une posiiton ni à droite, ni à gauche, c'est une position censée. C'est une position centriste. ;o)
Rédigé par : Cyceron | 11 septembre 2006 à 22:28
Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de pinces à linge en usage au PS. Il y a tellement peu d'élus à savoir qui ils sont, ce qu'est être socialiste depuis Mitterand, qu'au fond, l'influence des trotskystes par exemple sur le PS a toutes les chances de durer sans que cela les choque.
Il n'y a guère que les plus lucides qui voient la situation comme elle est - Rocard ou DSK, mais sans doute aussi Emmanuelli de l'autre côté du fossé intersocialiste.
Rédigé par : Cratyle | 12 septembre 2006 à 05:12
cher cycéron
Laissez-moi tout d'abord vous féliciter pour votre parfaite conformation au dogme libéral ambiant. Je trouve à ce porpos fort injuste que vous n'ayez pas encore eu droit à une tribune sur un média de masse quelconque car vous y seriez parfaitement à votre place...
D'autre part je vous invite à porter un regard critique sur les poncifs et autres clichés si souvent utilisés pour reléguer les "archéo-marxistes" aux oubliettes de l'histoire. Je vous rappelle que le marxisme est fondamentalement une critique radicale du capitalisme ce qui paraît impliquer (chrono)logiquement qu'il lui est posérieur, son archaisme n'a donc rien à envier au vôtre et ces deux idéologies feront de très bons compagnons d'oubliettes !
La question amusante que j'aime à poser aux zélotes du libéralisme qui ont tant de griefs contre la France archaïque c'est de savoir quel est pour eux le pays modèle qu'il faudrait imiter : est-ce la vaillante Amérique, sa "minuscule" dette et sa saine politique étrangère ? Ou bien la Chine émergente, nouveau paradis du capitalisme et de la liberté ?
Enfin laissez-moi vous dire que, pour moi qui ne suis ni marxiste ni libéral, la doctrine libérale actuelle m'apparaît justement comme une (méga)fusion inattendue de ces deux courants idéologiques, Les propos que vous me tenez me donnent l'impression que, pour vous, le Grand Soir Libéral est le but à atteindre et que vous êtes l'Avant gârde qui doit mener le peuple incrédule vers cet état de félicité absolue. Je pense que c'est plutôt vous qui devriez ouvrir les yeux, le monde d'aujourd'hui est dans une situation de tension très grave et votre capitalisme chéri en pleine transe hégémonique (ou "monopolistique" si ce terme vous parle plus) y est pour beaucoup, d'une façon plus caricaturale encore que ne le décrivaient les plus illuminés des marxistes !
je crois qu'il va falloir vous résoudre à accepter la réalité du peuple français qui reste fondamentalement nationaliste et anti-libéral (ce qui ne veut absolûment pas dire qu'il soit marxiste, comme quoi on peut ne pas être l'un sans forcément être l'autre). Cette réalité forte a été réaffirmée de façon éclatante par les résultats sans appel du referendum et, à moins de dissoudre le peuple, je ne vois pas comment vous pourrez faire changer cet état de fait sans "rompre" avec la démocratie !
Rédigé par : sépakaré | 12 septembre 2006 à 19:24
Sépakaré,
Le libéralisme économique n'est pas le mal incarné, je le répète. Ce que vous stigmatisez avec raison, ce sont ses excès, ses dérives.
Mais je crois que nos points de vue sont trop éloignés, pour que je caresse l'espoir de vous convaincre.
Quant au "non" au référendum, n'est pas un rejet du libéralisme, c'est la peur devant la mondialisation et ce méchant Bruxelles sur laquelle les politiques se défaussent systématiquement : c'est pas ma faute, j'ai rien pu faire, c'est eux, là-haut.
Sans compter la motivation forte du "vote sanction" contre le gouvernement. Ni la volonté farouche de faire mentir des médias outrancièrement favorables au oui, il est vrai.
Rédigé par : Cyceron | 12 septembre 2006 à 22:16
>> Ce que vous stigmatisez avec raison, ce sont ses excès, ses dérives
Je serais curieux de savoir ce que vous me rétorqueriez si je disais la même chose du communisme par exemple !?
Rédigé par : sépakaré | 12 septembre 2006 à 22:51
Bon sang, je viens juste de réaliser... Sépakaré... Sépakaré... Cycéron Sépakaré ! Il fallait effectivement un tel pseudo pour que nous nous résolvions "à accepter la réalité du peuple français qui reste fondamentalement nationaliste et anti-libéral".
Rédigé par : Hugues | 13 septembre 2006 à 17:23
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Rédigé par : alberta | 22 octobre 2006 à 14:43